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27 décembre 2018

Encore un peu d’astrologie mondiale...


astro

Encore un peu d’astrologie mondiale :
Les deux planètes sociales ont quelque chose à nous dire.

Ce jeudi 27 décembre, Jupiter et Saturne font leur premier demi-sextile décroissant
11° Sagittaire pour Jupiter
11° Capricorne pour Saturne

En 2018, et sur toute l’année, ils ont fait un semi-carré décroissant dans une opportunité de réorientation par rapport à la dimension à donner à une qualité de vie et de bien-être. Que ce soit sur le plan collectif ou sur le plan individuel, l’objectif était bien celui d’une transformation pour une Renaissance, en pouvant gommer ce qui gêne et repartir de plus belle … enrichi par la crise.
Mais la tension émotionnelle a été forte, une tension qui s’est faite entre signes d’Eau et de Terre, une polarité yin qui peut permettre, certes une force intérieure doublée d’efficacité, mais qui doit faire face aux habitudes et aux besoins de sécurité.

Sur 2019, les deux planètes sociales sont en semi-sextile. Entre signes cette fois, de Feu et de Terre. Le dialogue se fait entre l’initiative et le côté concret des choses, entre l’enthousiasme et la volonté de produire des formes concrètes : il s’agit d’un semi-sextile, un aspect réputé harmonieux ; la Terre vient soutenir pour déboucher sur une énergie potentiellement productive. Elle apporte la patience et la discipline dont le Feu a besoin, tandis que lui-même apporte une confiance en soi que ne possède pas toujours la Terre.

Jupiter et Saturne, tous les « presque 20 ans » viennent rythmer une nouvelle direction socio-cuturelle. La dernière conjonction s’est faite en mai 2000 en Taureau, au carré d’Uranus en Verseau.
Sur le plan collectif,
une dynamique s’installait, d’évolution et de transformation des valeurs sociales, économiques et culturelles.
Sur le plan individuel,
c’était une opportunité de transformer une façon de se relier et de participer à la société, une nouvelle façon de s’adapter aux valeurs d’un environnement en évolution.

La tension du carré 2015/2016 avec Neptune en carré à Saturne et opposé à Jupiter, a montré une obligation de prendre un virage pour éliminer déjà ce qui était périmé (mais puissant rapport de force entre signes fixes, Lion et Scorpion !)
Le rapide sextile de l’été 2017 a signé une sorte d’embellie pouvant imaginer des idées nouvelles générant les bases d’un nouveau projet de Vie sociale pour une réorganisation générale. On était invités à participer à la reconstruction d’un nouveau monde à venir pour 2020.
Mais à nouveau, la tension du semi-carré (hiver 2017 à automne 2018) a précisé la difficulté de communiquer dans cette période de transition vers un nouveau monde imposant un lâcher-prise avec de vieilles attaches tant matérielles que psychologiques.

Cette série de semis-sextiles décroissants qui va rythmer l’année 2019
(aspects exacts : 27 décembre 2018, 14 juin 2019 et 19 août 2019)
vient préciser le sextile d’août 2017 :
Jupiter, la planète rapide, se rapproche de Saturne pour préparer une sorte de fin, pour terminer quelque chose puisque le prochain cycle redémarrera en 2020 ; l’année qui vient, cherche à établir une vision du futur.
La vraie question : qu’est-ce qui peut transformer cette semence de fin, en semence de commencement ? Comment peut-on créer une potentialité vraiment nouvelle ?
On sera attentif à la période où les deux planètes seront ensemble rétrogrades (de mai à fin septembre 2019) : période intense d’intériorisation et de réflexion.
Le prochain cycle entre Jupiter et Saturne se fait en décembre 2020 à 0° 28 du Verseau, en Air …. après deux cents ans de départs de cycles en Terre !… un espoir que le siècle qui vient soit globalement moins matérialiste ??? …

Cette publication est à mettre en lien avec celle que j’ai faite pour le semi-carré décroissant du 15 décembre, entre Uranus et Neptune, 4ème passage qui vient en toile de fond à l’aspect d’aujourd’hui, et impose aussi jusqu’à l’été 2019, en le confirmant, un changement de mentalité de société.

Sur le plan individuel, ça peut être une opportunité de sortir de ce masque que la « persona » jungienne veut nous imposer pour rentrer dans le moule sans faire trop de vagues et se faire accepter par la société de ses pairs.
C'est aussi une trouée de lumière bleue dans un ciel qui a pu être très brumeux.

A méditer cette réplique du batteur de jazz Bernard Lubat qui disait en 2017 à un journaliste :
« L’improvisation c’est comme la liberté, ça s’apprend, ce n’est pas inné. Quand on a peur, on n’est pas libre ; quand on est libre, on a peur »

 

Source Allo Allo Mercure

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