La fin de la semaine est dominée par quelques jolis sextiles ! ALLO ALLO MERCURE

La fin de la semaine est dominée par quelques jolis sextiles !

Déjà, Mercredi 11 mars, le Soleil a donné le ton avec un sextile croissant à Jupiter
21° 22 Poissons pour le Soleil, Capricorne pour Jupiter

Samedi 14 mars, le Soleil continue avec Pluton, sextile croissant également
24° 34 Poissons pour le Soleil, Capricorne pour Pluton

Ce même samedi 14 mars, Mars vient prêter main forte, avec cette fois un sextile décroissant à Neptune :
18° 41 Capricorne pour Mars, et Poissons pour Neptune.

Je sors de ces précisions techniques pour donner un sens général :

Le Soleil, en sextiles croissants, propose d’aligner son comportement sur une transformation demandée de notre participation sociale, et pour une mort-renaissance (Pluton) de notre sens social, religieux ou spirituel (Jupiter) :
Comment s’organiser en vue du nouvel équilibre à trouver à partir d’anciens valeurs régies par des principes moraux et sociaux qui étaient bons en leur temps, mais qui sont à remettre en cause dans les données actuelles ?

Or Mars dans le signe des institutions, fait lui-même un sextile, décroissant cette fois, à Neptune pour que son action s’accorde efficacement à l’atmosphère ambiante.
La réorganisation générale est nécessaire à cause de tout ce qui a été perturbé par le carré du 28 janvier.
C’est le moment de se demander : qu’est-ce qui a pu mal fonctionner et qui oblige à une reconstruction ?... A quoi reste-t-on encore accroché ?....
Prochaine conjonction, le 13 juin à 21° Poissons, pour faire émerger un nouveau cycle.

Petite cerise sur le gâteau, la semaine se termine avec un très bel aspect de Vénus à Jupiter qu’on appelle un quintile (108°) : pour les personnes branchées spirituellement, opportunité de se livrer totalement à ce que l’on ressent d’essentiel.

Et synchronicité, je reçois ce matin cette citation d’Anthony de Mello, indien né à Bombay, guide spirituel et psychothérapeute, auteur de « Quand la conscience s’éveille » :
La Peste était en route vers Damas et croisa la caravane d’un chef dans le désert.
« Où allez-vous si vite ? » s’enquit le chef.
« À Damas, j’ai l’intention d’y prendre mille vies. »
Au retour de Damas, la Peste croisa de nouveau la caravane. Le chef dit : « C’est cinquante mille vies que vous avez prises, non mille ».
« Non, dit la Peste. J’en ai pris mille. C’est la Peur qui a pris le reste. »
Alors … restez prudents. Ne prenez pas de risques inutiles, si vous le pouvez, en limitant vos sorties dans des endroits denses en population. Mais n’ayez pas peur !

source / ALLO ALLO MERCURE